Durandus on the Embertide fasts and Ember Wednesday in Advent...


 

It has dawned on me that I ought to put each number's French version (that of Charles Barthélemy, 1825-1888) below the Latin it corresponds to.

Rationale divinorum officiorum 6,6.

Summa 1. Jejunia Quatuor temporum in primitiva Ecclesia ter fiebant in anno. Hodie quater. (Et cur ita, num. 2. 4. 5. 6. 7. 8. 9. 10.) 3. Anni quatuor temporum qualitas. 10. Jejunia triplicia, item primitiarum. 11. Jejuniorum dies pridem institutus mutatus est a Leone Papa. 14. Jejunium tractum est a veteri lege. Et n. 13. [The last note I went hunting about for in the pdf turned out to be an extract from the Legenda aurea so....]

1. In hac septimana fiunt jejunia Quatuor temporum. Unde hic primo de illis, secundo de aliis jejuniis, tertio de hujus diei officio prosequamur. In primitiva quidem Ecclesia statutum fuit, quod jejunia Quatuor temporum fierent ter in anno. Sed Calixtus Papa (76 dist. Jejunium.), constituit quater in anno fieri, nam et Judaei quater in anno jejunabant, scilicet ante Pascha, ante Pentecosten, ante Scenophegiam in septembri, et ante Encaenia, de quibus dicetur in prooemio septimae partis. Si enim tantum ter in anno in tres partes diviso jejunaretur, forte aliqui remanerent dies, de quibus primitias non redderemus; in istis enim jejuniis primitias temporis exsolvimus, ut jam dicetur, de quibus Zacharias ait: Jejunium quarti, et jejunium quinti, et jejunium septimi, et jejunium decimi erit domui Judae in gaudium (Zach. 8).

I. C'est dans cette semaine que l'on pratique les jeûnes des Quatre-Temps. Dans la primitive Eglise, il fut décidé que les jeûnes des Quatre-Tcmps auraient lieu trois fois l'an; mais le pape Calixte (d. 86) décida qu'on les observerait quatre fois l'an, car les Juifs jeûnaient aussi quatre fois l'an, c'est-à-dire avant Pâques, avant la Pentecôte, la fête des Tabernacles au mois de septembre, et la Dédicace , dont on parlera dans la préface de la septième partie. Car si on ne jeûnait que trois fois dans l'année divisée en trois parties, il resterait certains jours dont nous n'offririons pas à Dieu les prémices, et c'est surtout pour consacrer à Dieu les prémices du temps que l'on observe ces jeûnes, comme nous le dirons bientôt. C'est de ces jeûnes que Zacharie dit: Les jeûnes du quatrième, du cinquième, du septième et du dixième mois seront changés pour la maison de Juda et pour Jérusalem en des jours de fêtes, de joie et d'allégresse. Nous jeûnons donc quatre fois l'an:

2. Quater ergo jejunamus in anno. Primo, ut quatuor elementa in nobis vitiata, idest corpus nostrum ex eis constans, in quatuor anni temporibus castigetur. Homo enim constat ex quatuor elementis quantum ad corpus, et ex tribus potentiis quantum ad animam, scilicet rationali, concupiscibili, et irascibili; ut ergo illa moderentur in nobis, quater jejunamus in anno per tres dies, ut quaternarius numerus ad corpus, et ternarius ad animam referatur. Siquidem annus dividitur in quater tempora, quae sunt ver, aestas, autumnus, et hyems, quae propter sua delectamenta a Dei amore nos avertere solent.

II. Nous jeûnons donc quatre fois l'an: Premièrement, pour corriger, en chacune des quatre saisons de l'année, les quatre éléments viciés dont notre corps se compose; car le corps de l'homme se compose de quatre éléments, et son ame de trois puissances: la puissance rationnelle, la concupiscible et l'irascible. Afin donc d'équilibrer en nous ces éléments et ces puissances, nous jeûnons quatre fois l'an, pendant trois jours à chaque jeûne, afin que le nombre quatre se rapporte au corps, et le nombre trois à l'ame. En effet, l'année se partage en quatre saisons: le printemps, l'été, l'automne, l'hiver, qui, par leurs agréments, ont coutume de nous détourner de l'amour de Dieu.

3. Ver calidum et humidum; tunc ergo jejunamus ut elementum amoris castigetur in nobis, ne consentiat falsae pulchritudini ejus; jejunamus itaque contra luxuriam ex humore et calore nascentem. Aestas calida est et sicca; tunc ergo jejunamus , ut elementum caloris in nobis castigetur, ne consentiat incendio carnali. Vel tunc jejunamus contra superbiam, quia tunc fructus terrarum, qui florent et maturantur, superbiendi materiam praestant. Autumnus est frigidus et siccus; tunc ergo jejunamus, ne aliquo languore animi crescamus et defluamus, et sine pinguedine olei in tabernaculo aeterno inveniamur. Vel tunc jejunamus contra avaritiam, quia tunc messes colligimus, et habemus. Hyems frigida et humida est; unde tunc jejunamus, ne membra nostra fluxu atque luxu solvantur in commessationibus et potationibus, ac per hoc amor Dei negligatur: vel tunc jejunamus contra pigritiam, quia torpemus frigore.

III. Le printemps est chaud et humide, et nous jeûnons dans cette saison, afin que l'élément de l'amour soit corrigé en nous et ne se laisse pas entraîner par la vaine beauté du printemps ; nous jeûnons donc pour nous prémunir contre l'impureté qui provient de l'humidité et de la chaleur. L'été est chaud et sec; nous jeûnons donc alors pour corriger en nous l'élément de la chaleur, afin qu'il ne produise point l'incendie de la chair; ou bien contre l'orgueil, parce que les fruits de la terre qui fleurissent et qui mûrissent dans ce temps nous donnent lieu de nous enorgueillir. L'automne est froid et sec, et nous jeûnons dans cette saison, afin de ne pas sécher et dépérir par la langueur de notre ame et de ne pas paraître dans les tabernacles éternels sans la graisse de l'huile; ou bien nous jeûnons contre l'avarice, parce qu'alors on recueille et on possède les moissons. L'hiver est froid et humide; nous jeûnons donc alors pour que nos membres ne s'énervent pas dans le luxe et la mollesse par l'excès du manger et du boire, de peur que par là nous ne venions à négliger l'amour de Dieu; ou bien nous jeûnons alors pour combattre la paresse, engourdis que nous sommes par la froidure.

4. Jejunamus ergo in dictis quatuor temporalibus anni, ut per jejunia praeservemur a vitiis, 
et quae deliquimus in illis purgentur. Rursus, quoniam quodlibet tempus tres habet menses, ideo quater jejunamus in anno tres dies: unum diem jejunantes pro mense, ut sic satisfaciamus in die quod deliquimus in mense.

IV. Nous jeûnons donc dans ces quatre saisons de l'année, afin de nous préserver des vices et de nous purifier de nos péchés par ces jeûnes. Et, comme chaque saison se compose de trois mois, c'est pourquoi nous observons pendant l'année quatre jeûnes de trois jours chaque, jeûnant un jour pour chaque mois, afin de consacrer un jour à satisfaire pour les péchés commis pendant le mois.

5. Secundo etiam ideo jejunamus, nam primum jejunium fit in martio, scilicet in prima septimana Quadragesimae, ut in nobis virtutum germina oriantur, ut in nobis inarescant vitia, quae nequeunt omnino extingui. Secundum fit in aestate, in septimana Pentecostes, quia tunc venit Spiritus sanctus; et nos debemus esse ferventes in Spiritu sancto. Tertio fit in septembri ante festum sancti Michaelis, quando fructus colliguntur; et nos debemus Deo reddere fructum bonorum operum. Quartum fit in decembri, quando herbae moriuntur, quia et nos mundo mortificare debemus.

V. Secondement, nous jeûnons encore pour les raisons suivantes: le premier jeûne a lieu dans le mois de mars, c'est-à-dire la première semaine de Carême, afin qu'en nous se développe le germe des vertus, et que les vices qui ne peuvent être entièrement exterminés, se dessèchent pour ainsi dire en nous. Le second jeûne a lieu en été, dans la semaine de la Pentecôte, parce qu'alors l'Esprit saint est venu, et que nous devons être pleins de ferveur dans l'Esprit saint. Le troisième a lieu en septembre, avant la fête de saint Michel et quand on recueille les fruits; et nous devons alors rendre à Dieu le fruit des bonnes œuvres. Le quatrième se fait en décembre, quand les herbes se dessèchent et meurent, parce que nous devons nous mortifier au monde.

6. Tertio ideo, quia ver refertur ad pueritiam, aestas ad adolescentiam, autumnus ad maturitatem, sive virilitatem, hyems ad senectutem. Jejunamus ergo in vere, ut simus pueri per innocentiam; in aestate, ut efficiamur juvenes per constantiam; in autumno, ut maturi per modestiam; in hyeme, ut senes per prudentiam et honestam vitam.

VI. Troisièmement, on jeûne encore, parce que le printemps se rapporte à l'enfance, l'été à la jeunesse, l'automne à la maturité ou la virilité l'hiver à la vieillesse. Nous jeûnons donc au printemps afin que nous soyons des enfants par l'innocence; dans l'été, pour que nous devenions des jeunes gens par notre constance; dans l'automne, pour que nous devenions mûrs par la modestie; dans l'hiver, pour que nous devenions des vieillards par la prudence et l'intégrité de la vie.

7. Quarto, ideo in quatuor anni temporibus jejunamus, ut Deus nobis conservet omnia quae ad humanum usum in illis temporibus de terra nascuntur.

VII. Quatrièmement, nous jeûnons encore dans les quatre saisons de l'année, afin que Dieu nous conserve tout ce qui naît de la terre dans ces saisons et qui sert à l'usage de l'homme.

8. Quinto, ad significandum quatuor quae fuerunt in illis quatuor temporibus, scilicet conceptio Domini in vere, nativitas in hyeme, conceptio Joannis Baptistae in autumno, et ejus nativitas in aestate.

VIII. Cinquièmement, pour marquer les quatre grands événements qui sont arrivés dans les quatre saisons, savoir: la conception du Fils de Dieu, au printemps; sa nativité, en hiver; la conception de saint Jean-Baptiste, en automne; et sa nativité, en été.

9. Sexto, secundum Hieronymum, ob diversas plagas, quae in illis temporibus acciderunt. In quibus autem diebus et quare haec jejunia fiant, in octava parte, sub titulo De anno solari dicetur. Haec ergo jejunia vocantur Quatuor temporum, quia in praemissis quatuor anni temporibus fiunt.

IX. Sixièmement, selon saint Jérôme, à cause des diverses plaies ou fléaux qui sont arrivés dans ces époques. Or, en quels jours ont lieu ces jeûnes et pourquoi ont-ils lieu? C'est ce que nous dirons dans la huitième partie, au chapitre de l'Année solaire. Ces jeûnes sont nommés jeûnes des Quatre-Temps, parce qu'ils ont lieu aux quatre époques précitées de l'année.

10. Vocantur etiam jejunja triplicia, pro eo quia fiunt tribus diebus, quibus homines jejunant in septimana. Antiqui enim jejunabant eisdem feriis, et postea superaddita sunt jejunia ista. Vocantur etiam jejunia primitiarum, quia cum in lege praeceptum sit, ut primitiae et decimae Deo dentur, placuit sanctis patribus, ut dicit Augustinus (in lib. de doctrina Christiana), solvere decimas, et primitias temporis, unde pro primitiis instituerunt jejunia Quatuor temporum, et inde dicta sunt jejunia primitiarum; pro decimis vero instituerunt jejunia Quadragesimae.

X. On les nomme encore les Trois-Jeûnes, parce qu'ils ont lieu pendant les trois jours de la semaine qui sont consacrés aux jeûnes des hommes; car les anciens jeûnaient pendant ces mêmes jours de la semaine, et dans la suite on y a ajouté les jeûnes en question. On les appelle encore jeûnes des prémices, parce que, comme dans la loi ancienne il était prescrit d'offrir à Dieu les prémices et la dixième partie de tous les biens, il a paru convenable aux saints Pères, comme le dit saint Augustin dans le livre de la Doctrine chrétienne, d'offrir à Dieu les dîmes et les prémices des saisons; c'est pourquoi, pour les prémices, ils ont institué les jeûnes des quatre-temps, qui, pour cela, ont été appelés jeûnes des prémices; et, pour les dîmes (ou dixième partie), ils ont établi les jeûnes du Carême.

11. Sciendum autem est, quod jejunia vernalia primo instituta fuerunt in prima septimana martii; aestivalia in secunda junii; autumnalia in tertia septembris; hyemalia in quarta decembris, sed propter multa, quae inde surgebant incommoda, statuit Leo Papa (76. dist. Hujus.), ut hyemale fiat in tertia septimana Adventus, vernale in prima septimana Quadragesimae, aestivale in prima septimana post Pentecosten, autumnale vero fiat secundum veterem institutionem. Quare jejunia instituta sunt in dictis mensibus, et quare in eis fiunt ordinationes, vide in septima parte, sub Sabbato post Dominicam septimam, et in prooemio secundae partis. Cave tamen in computatione septimanarum mensis septembris, quia si ipse mensis incoeperit in prima, vel in secunda, vel in tertia, vel quarta feria, illi dies computantur pro prima septimana illius mensis, et in tertia ab illa jejunium fiet. Si vero mensis ipse incoeperit in quinta, vel in sexta, vel in septima feria, tunc in sequenti dominica incipies computare primam septimanam, et in tertia post illum jejunium fiet, et sic dies praecedentes nihil operantur, quantum ad computationem septimanarum. Verumtamen secundum primariam Ecclesiae institutionem jejunia veris dicuntur prima, quia fiebant in primo mense, scilicet in januario, qui apud Romanos primus mensis fuit; jejunia aestatis dicuntur quarta, quia fiebant in quarto mense, scilicet in junio; jejunia autumni septima, quia fiunt in mense septimo, scilicet in septembri; jejunia hyemis decima, quia funt in decimo mense, scilicet in decembri; unde Zacharias: Jejunium quarti, et jejunium quinti, et jejunium septimi, et jejunium decimi erit domui Judae in gaudium (Zach. 8).

XI. Or, il faut savoir que les jeûnes du printemps ont d'àbord été établis dans la première semaine de mars; ceux d'été, dans la seconde semaine de juin; ceux d'automne dans la troisième de septembre, et ceux d'hiver, dans la quatrième de décembre. Mais, à cause des nombreux inconvénients qui résultaient de là, le pape Léon (76 d., Hujus) décréta que le jeûne d'hiver se ferait dans la troisième semaine de l'Avent; celui du printemps, dans la première semaine de Carême; celui d'été, la première après la Pentecôte, et que celui d'automne conserverait son ancienne institution. Pourquoi les jeûnes ont ils été établis pendant les mois précités, et pourquoi les ordinations ont-elles lieu pendant ces jeûnes? C'est ce que l'on peut voir dans la septième partie, au chapitre du Samedi après le
dix-septième dimanche qui suit la Pentecôte et dans la préface de la seconde partie. Pourtant fais attention, dans la computation des semaines du mois de septembre, que si ce mois commence le dimanche, le lundi, le mardi ou le mercredi, ces jours font partie de la première semaine de ce mois, et que le jeûne aura lieu dans la troisième semaine à partir de celle-ci. Mais si ce mois commence le jeudi, le vendredi ou le samedi, alors, le dimanche suivant, tu commenceras à compter la première semaine, et le jeûne aura lieu la troisième semaine après. Ainsi les jours précédents ne comptent pas dans la supputation des semaines. Cependant, d'après la primitive institution de l'Eglise, les jeûnes du printemps sont appelés les premiers, parce qu'ils avaient lieu dans le premier mois, c'est-à-dire en mars, parce que, chez les Romains, c'était le premier mois. Les jeûnes de l'été sont appelés les quatrièmes, parce qu'ils se ]aisaient dans le quatrième mois, c'est-à-dire en juin. Les j]eûnes d'automne sont les septièmes, parce qu'ils s'observent d]ans le septième mois, c'est-à-dire en septembre. Les jeûnes de] l'hiver sont les dixièmes, parce qu'ils ont lieu dans le dixième m]ois, c'est-à-dire dans le mois de décembre. C'est pourquoi Zacharie dit: Les jeûnes du premier, du quatrième, du septième et du dixième mois seront changés en joie pour la maison de Juda (76 d., Jejunium quarti).

12. Sed cum haec jejunia recolant quatuor anni tempora, ut dictum est, quare aguntur in primo mense, et in quarto, et in septimo, et in decimo, cum principia temporum non sint his mensibus? Respondeo, hoc jejunium tractum est de veteri lege, unde agitur in illis mensibus nostris secundum numerum mensium illius temporis. Judaei enim secundum lunationes jejunabant, scilicet in prima, in quarta, in septima, et in decima, et hoc est quod legitur jejunium primi, jejunium quarti, jejunium septimi, et jejunium decimi, quia sicut in prima lunatione est principium anni illorum, sic et martius est principium anni nostri.

XII. Mais, puisque ces jeûnes rappellent les quatre saisons de l'année, comme on l'a dit ci-dessus, pourquoi ont-ils lieu au premier, au quatrième, au septième et au dixième mois, puisque ces saisons ne commencent pas dans ces mois? Je réponds: Ce jeûne est imité de celui de l'ancienne loi, et il a lieu dans ceux de nos mois qui correspondent aux nombres des mois de ce temps-là chez les Juifs; car ce peuple jeûnait suivant les lunaisons, c'est-à-dire à la première, à la quatrième, à la septième et à la dixième [lune-- CB]. Et c'est ce que signifient ces paroles de Zacharie quand il dit le jeûne du premier, du quatrième, du septième et du dixième [mois-- CB], parce que, comme le commencement de l'année judaïque coïncide avec la première lunaison, ainsi le mois de mars est aussi le commencement de notre année.

13. Quod autem jejunia nostra ortum habuerunt a veteri lege, apparet ex hoc, quod a jejunio veris usque ad aestivale sunt quatuordecim hebdomadae, quia tot generationes fuerunt ab Abraham usque ad David. Item ab aestivali usque ad autumnale, sunt similiter quatuordecim septimanae, quia tot generationes fuerunt a David usque ad Jeconiam. Item ab autumnali usque ad hyemale, aliae quindecim, quia tot Reges fuerunt a Jeconia usque ad Christum, computatis regibus illis, quos Matthaeus in suo Evangelio praetermisit.

XIII. Or, cette assertion, que nos jeûnes sont tirés de l'ancienne loi, se trouve fondée sur ce que, depuis le jeûne du printemps jusqu'au jeûne d'été, il y a quatorze semaines, nombre équivalent à celui des générations depuis Abraham jusqu'à David; de même, depuis le jeûne d'été jusqu'au jeûne d'automne, il y a également quatorze semaines, nombre cor respondant aux générations qui eurent lieu depuis David jusqu'à Jéchonias; depuis l'automne jusqu'à l'hiver, quatorze semaines, nombre égal à celui des rois depuis Jéchonias jusqu'au Christ, y compris les rois que saint Mathieu a passés dans son évangile.


LDVM


























Comments